Comme je le disais lors de mon article sur Quand souffle le vent du Nord, il est impensable de lire celui-ci sans avoir sa suite en sa possession. L’ayant fini dans le train, je me suis attelée à la lecture de La septième vague dans les heures qui ont suivi… pour le terminer dans la nuit.
L’histoire : Après six mois d’absence, Léo et Emmi se retrouvent. Puis se séparent de nouveau. Sans pouvoir résister à la tentation de reprendre le contact. Pour mieux en finir, ils décident de se rencontrer, pour de vrai. Leur romance épistolaire va t-elle résister à l’épreuve de la réalité ? Le correspondant fantasmé ne doit-il pas rester caché, pour préserver l’attrait qu’il suscite ?
Mon avis : Quelle suite ! Je n’ai pas su résister après avoir terminé Quand souffle le vent du Nord, il a fallu que j’ouvre de suite La septième vague. Et je ne l’ai pas lâché avant de savoir le mot de la fin. Daniel Glattauer nous emporte une fois de plus, faisant de nous son complice dans la relation unissant Emmi et Léo. Celle-ci semble d’ailleurs être mise sur la sellette durant tout le roman, nous arrachant frissons, tremblements et inquiétude : serait-il possible qu’une telle histoire prenne fin ? On s’interroge, on espère, on persiste. On saute de mails en mails, enchaînant à la vitesse de la lumière les pages du roman. Jusqu’au dénouement. Jusqu’à ce que nous restions saisis, une larme à l’oeil. Je ne vous dit que cela…